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Amoéba : L’Autriche recommande l’approbation de la substance active de biocontrôle pour le territoire européen

Lyon (France), le 25 avril 2022 -17h45- AMOEBA (FR0011051598 – AMEBA), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de tests, annonce que l’AGES (Agentur für Gesundheit und Ernährungssicherheit[1]), autorité compétente de l’Etat Membre Rapporteur (Autriche) chargée de la demande d’approbation de la substance active de biocontrôle «Lysat de Willaertia magna C2c Maky », recommande son approbation pour un usage en protection des plantes sur le territoire européen.

Dans son projet de rapport d’évaluation, l’AGES conclut que la substance active est susceptible de satisfaire aux critères d’approbation. L’autorité autrichienne confirme ainsi l’efficacité de la substance active et son absence d’effets nocifs sur la santé humaine et l’environnement dans le cadre d’une utilisation conforme aux bonnes pratiques phytosanitaires et dans des conditions réalistes d’utilisation. 

Sur base de cette conclusion, l’Autriche recommande aux autres Etats-Membres de l’UE et à l’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire (EFSA1) l’approbation de cette substance active et son inscription sur la liste des substances actives phytopharmaceutiques approuvées.

Dans son projet de rapport d’évaluation, l’Autriche recommande également :

  • que la substance active « Lysat de Willaertia magna C2c Maky » soit classée comme substance à faible risque. Cette classification permet notamment une évaluation accélérée des produits contenant ladite substance (selon la réglementation, 120 jours au lieu de 365 jours) et une durée d’autorisation de la substance active avant renouvellement plus longue (15 ans au lieu de 10 ans).
  • que la fixation d’une limite maximale de résidus[2] de « Lysat de Willaertia magna C2c Maky » ne soit pas requise, étant donné le profil non-toxicologique de la substance.

A ce stade, la recommandation d’approbation n’est subordonnée à aucune restriction.

Les étapes majeures à venir avant commercialisation des produits contenant la substance active de biocontrôle « Lysat de Willaertia magna C2c Maky » sur le territoire européen sont les suivantes :

« La recommandation d’approbation par l’Autriche est une étape majeure pour Amoéba, menant à la future mise sur le marché de nos produits de biocontrôle. La recommandation positive confirme à la fois les performances de notre substance, l’expertise de nos équipes et la qualité des partenaires avec qui nous travaillons sur cette application. La fluidité de l’évaluation montre aussi l’importance des échanges entre autorité et demandeur, avant la soumission et durant l’évaluation, échanges que l’autorité autrichienne a largement favorisés », déclare Jean-Baptiste EBERST, Directeur Réglementaire chez Amoéba.

« La décision favorable de l’Autriche pour l’utilisation de la substance active Willaertia magna C2c Maky  en application biocontrôle est synonyme d’un premier grand succès pour Amoéba, et récompense la persévérance sans failles des équipes. Cette conclusion positive ouvre la voie à de belles opportunités et nous incite fortement à explorer tout le potentiel de cette substance dans différents domaines d’application. Forts de ce premier succès, nous attendons la décision de Malte concernant l’usage de la substance en application biocide avec optimisme. » affirme Fabrice PLASSON, PDG d’Amoéba.

[1]  EFSA, European Food Safety Authority

[2] L’AGES, Agence pour la santé et la sécurité alimentaire – Autriche

[2] LMR, seuil réglementaire de concentration de résidus de produits pesticides, au-delà duquel la commercialisation d’un produit alimentaire n’est plus autorisée

Amoéba annonce la mise à disposition du Document d’Enregistrement Universel 2021 incluant le rapport financier annuel

Lyon (France), le 13 avril, 2022 -8h30- AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide
biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de
biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phases de développement, annonce avoir
déposé son Document d’Enregistrement Universel 2021 auprès de l’Autorité des marchés financiers
(AMF) le 12 avril 2022 sous le numéro D.22-0280.

Le Document d’Enregistrement Universel 2021, au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2021,
comporte notamment :
• Le rapport financier annuel 2021 constitué des comptes consolidés, des comptes annuels, du
rapport de gestion et des rapports des commissaires aux comptes y afférents ;
• Le rapport sur le gouvernement d’entreprise établi par le Conseil d’Administration.

Le Document d’Enregistrement Universel 2021 présente également les activités de la société,
notamment en matière de développement des applications biocide et biocontrôle et de ses travaux de
recherches. L’organisation, la situation financière, les résultats et les perspectives d’Amoéba y sont
également exposés.

Ce document est mis à disposition sur le site internet de la société à l’adresse www.amoebanature.com dans la rubrique « Investisseurs/Information financière/Document de référence ». Des
exemplaires imprimés sont également disponibles au siège de la société : 38, avenue des frères
Montgolfier, 69680 Chassieu, France.

Amoéba annonce le report de l’émission de la 5ème tranche d’obligations convertibles en actions.

Chassieu (France), le 5 avril 2022 – 17h45 – AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un
biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un
produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, informe
qu’elle a exercé l’option de suspension relative à l’émission de la 5 ème tranche d’OCA.

Conformément à l’article 3.1.3 du contrat d’émission d’obligations convertibles en actions, signé avec
Nice & Green SA le 17 décembre 2020, Amoéba a décidé d’exercer l’option de suspension relative à
l’émission de la 5° tranche de 60 obligations
initialement prévue le 5 avril 2022. Selon les termes du
contrat, cette suspension peut être exercée pour une période de 2 mois maximum. L’exercice de
l’option de suspension entraine le report automatique de l’émission de la tranche suspendue
immédiatement après la période de suspension et la période d’engagement est prolongée pour une
durée maximale égale à la phase de suspension.

Amoéba annonce ses résultats annuels 2021 et la poursuite du développement des applications biocide et biocontrôle

Chassieu (France), le 31 mars 2022- 17h45 – AMOEBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un
biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un
produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, annonce
aujourd’hui ses résultats annuels pour l’exercice clos au 31 décembre 2021.
Le Conseil d’Administration, qui s’est réuni le 31 mars 2022, a arrêté les comptes sociaux et consolidés
du Groupe Amoéba pour l’exercice clos le 31 décembre 2021.
Les Commissaires aux Comptes ont effectué leurs travaux d’audit et n’ont pas relevé d’anomalie
significative de nature à remettre en cause la conformité de ces derniers. Les rapports de certification
sont en cours d’émission.

Des résultats 2021 en ligne avec ceux de 2020
Au 31 décembre 2021, le résultat opérationnel d’Amoéba s’établit à -5 579 K€ contre -6 156K€ au
31 décembre 2020.
• La société en attente des autorisations de commercialisation sur ses applications biocide et
biocontrôle n’a réalisé aucun chiffre d’affaires au cours de l’exercice 2021.
• Les subventions sont en augmentation par rapport à 2020. Elles sont principalement
constituées du Crédit Impôt Recherche et reflètent la poursuite des efforts faits par
l’entreprise en matière de recherche et développement sur son application biocontrôle au
cours de l’année 2021.
• Les frais de déploiement industriel sont en baisse par rapport à l’année précédente. • Les dépenses de Recherche et Développement s’établissent à 2 178 K€ en hausse par rapport
à 2020 (1 612 K€). Cette hausse est due au reclassement des dépenses de R&D engagées pour
soutenir les dossiers règlementaires classées en 2020 en dépenses administratives.
• Les frais de marketing et ventes (225 K€) restent stables.
• Les frais généraux et administratifs s’établissent à 2 980 K€, en baisse de 858 K€ par rapport
à l’année précédente. Cet écart est principalement dû au reclassement des études
règlementaires sur la ligne Recherche et Développement.
• Le résultat financier comprend principalement des charges d’intérêts liés aux emprunts
bancaires (1 260 K€) et à l’opération OCAPI (1 021 K€).

Le résultat net s’établit ainsi à -7 817 K€ contre -8 157 K€ au 31 décembre 2020.
Au 31 décembre 2021, les capitaux propres de la société s’élèvent à 0,2 M€ contre 2 M€ au
31 décembre 2020.
L’endettement financier de la société s’élève à 12.5 M€ et est principalement constitué du prêt BEI et
des intérêts capitalisés (6,1 M€), de l’emprunt obligataire résultant des obligations émises et non
encore converties à la clôture (5.9 M€) et des dettes liées aux obligations locatives (0,5 M€).
La trésorerie de la Société au 31 décembre 2021 s’élève à 7 275 K€ contre 4 975 K€ au
31 décembre 2020.

Une année principalement marquée par la poursuite du développement de l’application
biocontrôle pour la protection des plantes et le suivi des dossiers règlementaires de
commercialisation des applications biocontrôle et biocide
.

Au cours de l’année 2021, Amoéba s’est concentrée sur les axes principaux suivants :

  1. Poursuite du développement de l’application biocontrôle pour la prévention des maladies des
    plantes

    • Le 6 avril 2021, la Société a annoncé le lancement d’une nouvelle campagne d’essais au
    champ sur un large spectre de cultures (dont la vigne, les céréales et les cultures
    maraichères). Plus de 200 essais réalisés en propre par Amoéba ou ses partenaires
    agrochimiques ont été programmés dans le monde (Europe, Amériques, Asie). Cette très
    large campagne avait pour objectifs d’approfondir les connaissances sur la substance
    active, de comparer plusieurs formulations, d’élargir la connaissance du spectre d’activité
    et de générer, en Europe, des résultats pour alimenter les futurs dossiers de demande de
    mise en marché des produits formulés de biocontrôle.
    • Le 29 juillet 2021, la Société a confirmé les résultats prometteurs de la troisième
    campagne d’essais au champ contre le mildiou et l’oïdium de la vigne.
    • Le 24 août 2021, la Société Amoéba a annoncé les résultats de sa seconde campagne
    d’essais agronomiques en Europe contre les maladies des céréales. Une quinzaine d’essais
    ont été mis en place dans 3 pays (France, Italie, Allemagne.)
    Les principales maladies visées étaient :
    • sur le blé : la rouille jaune, la septoriose et la fusariose des épis.
    • sur l’orge : la rhynchosporiose ;

Les résultats de cette année confirment l’efficacité des formulations de biocontrôle
d’Amoéba contre les principales maladies des céréales, le plus grand marché
fongicide d’Europe.

  1. Poursuite des demandes d’autorisation de commercialisation (AMM) des applications biocide et
    biocontrôle

    • Le 6 avril 2021, Amoéba a déposé une nouvelle demande d’approbation de la substance
    active biocide, l’amibe vivante Willaertia magna C2c Maky, et des produits biocides la
    contenant, auprès de l’Agence américaine de Protection de l’Environnement, l’U.S. EPA
    (U.S. Environmental Protection Agency).
    • Les 5 juillet et 15 novembre 2021, la Société a informé du report de la conclusion
    d’évaluation par Malte du dossier substance active biocide reportant sa soumission au 31
    mars 2022.
    • Le 14 décembre 2021, la société a mis à jour le calendrier de ses différents dossiers
    règlementaires ( cf Communiqué de presse du 14 décembre 2021)
  2. Poursuite des travaux de recherche sur la connaissance de l’amibe Willaertia Magna C2c Maky
    • Le 20 octobre 2021, Amoéba a annoncé la publication d’un nouvel article dans le journal
    « Pathogens » qui explique l’absence de multiplication intracellulaire de sept souches de
    légionnelles dans l’amibe Willaertia magna C2c Maky.
  3. Sécurisation du financement de la société • La Société a annoncé l’émission des première, seconde et troisième tranches de 60 obligations convertibles en actions dans le cadre de son nouveau financement obligatoire avec programme d’intéressement conclu avec Nice & Green. • Par ailleurs, Amoéba a démarré la restructuration de son endettement en effectuant au cours du mois de juillet 2021 un paiement anticipé du prêt BEI de 3 192 K€ (composé d’un remboursement du capital pour 1 750 K€ et d’intérêts pour 1 442 K€) soit 35% des sommes dues. Ce paiement ne remet pas en cause l’échéance initiale des sommes restantes en novembre 2022, qui ont été classées en dettes financières courantes au 31 décembre 2021.

Évolution récente et perspectives
La Société a annoncé le 7 janvier 2022 le report de l’émission de la 4ème tranche d’OCA. Celle-ci a été
émise le 7 mars 2022
Le 25 janvier 2022, la Société a annoncé la nomination, à titre provisoire, de Madame Sylvie Guinard
en qualité d’administratrice indépendante du Conseil d’Administration. Elle remplace Madame
Claudine Vermot-Desroches pour la durée de son mandat restant à courir, soit jusqu’à l’Assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et ce,
sous réserve de ratification par la prochaine Assemblée Générale Ordinaire du 24 mai 2022.

Le 25 mars 2022, la société a mis à jour le calendrier de ses différents dossiers règlementaires :
• Concernant l’application biocide (substance active: amibe Willaertia magna C2c Maky viable) en
Europe, l’autorité maltaise (MCCAA) s’était engagée à soumettre à la société le rapport
d’évaluation de la substance active au plus tard le 31 mars 2022 (voir Communiqué de Presse du
15 novembre 2021). En mars 2022, le MCCAA a informé Amoéba que quelques semaines
supplémentaires seraient nécessaires pour finaliser entièrement le rapport d’évaluation.
• Concernant l’application biocontrôle (substance active: lysat de Willaertia magna C2c Maky) en
Europe, l’AGES avait informé la Société que le rapport d’évaluation devrait être finalisé fin mars
2022 (voir Communiqué de Presse du 14 décembre 2021). En mars 22, l’AGES a annoncé à Amoéba
que, en raison de la situation exceptionnelle de pandémie en Autriche, de nombreux experts
évaluateurs étaient en incapacité ou en quarantaine, conduisant à une prolongation de
l’évaluation de quelques semaines.
• Pour les autres applications en cours d’évaluation (biocide aux USA et au Canada; biocontrôle aux
USA et au Brésil), les informations fournies dans le Communiqué de Presse du 14 décembre 2021
sont toujours valables.
Les procédures de demande d’autorisation des applications biocide et biocontrôle, auprès des
autorités réglementaires, sont détaillées dans le Document d’Enregistrement Universel déposé
auprès de l’Autorité des Marchés Financiers le 12 avril 2021 sous le numéro D21-0289, en
particulier à la sous-section 5.4.3 « Procédures d’enregistrement des produits ».

La société se prépare à réaliser sur 2022 une nouvelle campagne de tests au champ de son produit de
biocontrôle.

Le programme prévu en 2022 s’articulera autour des thèmes suivants :
• Essais pour l’AMM en Europe de la formulation sélectionnée sur le mildiou de la vigne.
• Après les excellents résultats obtenus en 2021, intensification du programme oïdium sur vigne
• Intensification du programme contre les mildious et oïdiums des cultures maraichères afin de
préparer de futures demandes d’AMM
• Poursuite du programme céréales en particulier contre les rouilles, la septoriose et la fusariose des
épis.
• Essais sur des cibles nouvelles : en particulier la tavelure du pommier, un sujet majeur, à la suite
de résultats prometteurs obtenus en chambre climatique.
• Poursuite de l’évaluation contre la rouille du soja et celle du caféier (Brésil, premiers essais en
cours)

En parallèle des applications existantes (biocide et biocontrôle), Amoéba reçoit de nombreuses
sollicitations pour intégrer sa solution dans de nouveaux champs d’exploitations. Une évaluation
scientifique stricte de ces opportunités est menée en permanence par notre laboratoire et des
laboratoires experts externes.

A la date d’arrêté des comptes, la Société dispose d’un fonds de roulement net suffisant pour faire face à ses obligations et à ses besoins de trésorerie sur les douze prochains mois, estimant pouvoir faire face à ses engagements pris jusqu’en décembre 2023. Les comptes clos au 31 décembre 2021 ont été arrêtés par le Conseil d’Administration du 31 mars 2022 selon le principe de continuité d’exploitation au vu des prévisions d’activité et de trésorerie.

Prochain rendez-vous :
Assemblée Générale des actionnaires : le 24 mai 2022

Amoéba annonce la mise à jour du calendrier des dossiers règlementaires européens

Chassieu (France), le 25 mars 2022 – 17h45 – AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, met à jour le calendrier réglementaire des applications actuellement en cours d’évaluation en Europe.

Application biocide (substance active : amibe Willaertia magna C2c Maky viable) en Europe :

La demande d’approbation de la substance active, soumise en 2019, est en cours d’évaluation par l’autorité maltaise (MCCAA). En novembre 2021, l’autorité maltaise s’était engagée à soumettre à la société le rapport d’évaluation de la substance active au plus tard le 31 mars 2022 (voir Communiqué de Presse du 15 novembre 2021). En mars 2022, le MCCAA a informé Amoéba que quelques semaines supplémentaires seraient nécessaires pour finaliser entièrement le rapport d’évaluation.

Application biocontrôle (substance active : lysat de Willaertia magna C2c Maky) en Europe :

La demande d’approbation de la substance active, soumise en 2020 (voir Communiqué de Presse du 29 mai 2020), est en cours d’évaluation par l’autorité autrichienne (AGES). En décembre 2021, l’AGES informait la Société que le rapport d’évaluation devrait être finalisé fin mars 2022 (voir Communiqué de Presse du 14 décembre 2021). En mars 2022, l’AGES a informé Amoéba que, en raison de la situation exceptionnelle de pandémie en Autriche, de nombreux experts évaluateurs étaient en incapacité ou en quarantaine, conduisant à une prolongation de l’évaluation de quelques semaines.

Applications dans d’autres zones géographiques :

Pour les autres applications en cours d’évaluation (biocide aux USA et au Canada ; biocontrôle aux USA et au Brésil), les informations fournies dans le Communiqué de Presse du 14 décembre 2021 sont toujours valables.

AMOEBA renforce son conseil d’administration en cooptant une nouvelle administratrice

Chassieu (France), le 25 janvier, 2022 – 17h45- AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, annonce la nomination, à titre provisoire, de Madame Sylvie Guinard en qualité d’administratrice indépendante du Conseil d’Administration. Elle remplace Madame Claudine Vermot-Desroches pour la durée de son mandat restant à courir, soit jusqu’à l’Assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et ce, sous réserve de ratification par la prochaine Assemblée Générale Ordinaire.

Après examen de la situation de Madame Sylvie Guinard, au regard des critères d’indépendance définis par le Code MiddleNext auquel la société AMOEBA se réfère, le Conseil d’Administration a qualifié Madame Sylvie Guinard d’administratrice indépendante.

Sylvie Guinard
Sylvie Guinard est actuellement Présidente du groupe Thimonnier, spécialisé dans la conception et la construction de machines spéciales d’emballages souples pour produits sensibles. Cette PME innovante de 80 personnes exporte dans plus de 150 pays.

En tant que Présidente du Conseil d’Administration de l’INPI (Institut National en charge de la Propriété Industrielle ), Administratrice de Business France (structure étatique chargée du développement international des entreprises françaises et des investissements internationaux en France), de Visiativ (acteur privé de la transformation numérique des entreprises) et d’EVOLIS-SYMOP (syndicat professionnel des créateurs de solutions industrielles), Sylvie Guinard est fortement impliquée auprès des acteurs nationaux et régionaux du secteur industriel.

Ingénieure de formation et titulaire d’un MBA de l’EM-Lyon, Sylvie Guinard a fait toute sa carrière dans l’industrie. Elle a auparavant travaillé dans des secteurs aussi variés que le spatial, la défense, le ferroviaire, les engins de travaux publics ou les véhicules. Au cours de ces dernières années, Sylvie Guinard a été mise à l’honneur à l’occasion de nombreux trophées : Innovation, Export, Entrepreneur de l’année, Industrie, Finance, Transmission, Chef d’entreprise de l’année. Elle a de plus été élevée au grade de Chevalier de l’Ordre National du Mérite en 2014 et à celui de Chevalier de la Légion d’honneur en 2017.

« Je suis honoré par l’arrivée de Sylvie Guinard au sein de notre Conseil d’Administration. Sa solide expertise du secteur industriel et son expérience en tant que dirigeante opérationnelle viennent renforcer la gouvernance de la Société et sont un atout pour les développements futurs d’Amoéba. Je remercie Claudine Vermot-Desroches pour sa contribution au Conseil d’Administration au cours des dernières années » précise Fabrice Plasson, Président Directeur Général d’Amoeba.

AMOEBA : publication d’un nouvel article dans le journal scientifique « Pathogens »

Absence de multiplication intracellulaire de sept souches de légionelles dans l’amibe Willaertia magna C2c Maky.

Chassieu (France), le 20 octobre, 2021 – AMOEBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de tests, annonce la publication dans Pathogens, journal scientifique international à haut facteur d’impact, des résultats montrant l’absence de multiplication intracellulaire de sept souches de légionelles dans l’amibe Willaertia magna C2c Maky.

Ce travail fait suite et complète l’article publié en 2020 réalisé conjointement entre l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection à Marseille et la société Amoéba à Chassieu (cf . communiqué de presse du 7 février 2020). Les résultats de cette nouvelle étude ont été récemment publiés dans le numéro spécial « Classic and Non-classic Intracellular Bacteria: Host immunity and Microbial Persistence Strategies» de Pathogens, qui traite de sujets relatifs à des agents pathogènes et à des interactions entre agents pathogènes et hôtes. L’article publié et évalué par des pairs rapporte l’efficacité de l’amibe Willaertia magna C2c Maky à ingérer et éliminer sept souches de Legionella non pneumophila (https://www.mdpi.com/2076-0817/10/10/1350/pdf).

Certaines amibes, largement répandues dans l’environnement telles que Acanthamoeba castellanii, sont connues pour multiplier les légionelles. Amoéba a montré en 2020 que ce phénomène ne se produisait pas chez Willaertia magna C2c Maky avec trois souches de Legionella de l’espèce pneumophila. Cependant, il existe plus de 60 espèces de légionelles, dont certaines peuvent aussi être à l’origine d’épidémies de légionellose. Il était donc essentiel de vérifier avec des souches représentatives que Willaertia magna C2c Maky était capable de les éliminer.

Confirmation de la capacité de Willaertia magna C2c Maky à ingérer et éliminer les légionelles

Les résultats démontrent que Willaertia magna C2c Maky résiste également à l’attaque des autres espèces de légionelles. Cette propriété a été évaluée parallèlement pour deux autres amibes connues pour être permissives. D’une part, les données corroborent la capacité multiplicatrice de certaines légionelles dans Acanthamoeba castellanii et dans une amibe de la même espèce que Willaertia magna C2c Maky, l’amibe Willaertia magna T5(S)44. D’autres part, ces résultats confirment la capacité de Willaertia magna C2c Maky à ingérer et éliminer les légionelles.

Les auteurs se sont intéressés à 7 souches de Legionella non-pneumophila appartenant aux espèces L. longbeachae, L. anisa, L. bozemanae, L. taurinensis, et L. dumoffii dont certaines ont été à l’origine d’épidémies de légionelloses. La température pouvant influer sur le comportement amibien, une échelle de températures (entre 22°C et 37°C), pouvant être rencontrées dans les eaux de refroidissement des tours aéroréfrigérantes, a été utilisée.

  • A 22°C : les trois amibes ont été capables de phagocyter les sept souches bactériennes et d’empêcher leur multiplication intracellulaire à l’exception de L. longbeachae qui s’est multiplié dans Willaertia magna T5(S)44.
  • A 37°C : quatre souches bactériennes ont été capables de détourner la machinerie cellulaire d’une ou deux amibes, mais en aucun de cas de Willaertia magna C2c Maky.

« Ces résultats confirment que Willaertia magna C2c Maky possède des propriétés uniques et est un excellent candidat pour devenir le premier biocide biologique pour le traitement de l’eau des tours aéroréfrigérantes. » déclare Sandrine DEMANECHE directrice scientifique chez Amoéba.

Pour rappel, l’évaluation du dossier règlementaire de demande d’approbation de la substance active biocide Willaertia magna C2c Maky pour un usage en tours de refroidissement en Europe est en cours de revue par l’Etat Membre rapporteur, avec une fin d’évaluation prévue fin 2021, avant le passage au niveau européen pour la revue par l’Agence Européenne des Produits Chimiques (ECHA).

Amoéba : une 2e campagne d’essais sur les céréales confirme le potentiel de son produit de biocontrôle

Chassieu (France), le 24 août, 2021 – 17h45 – AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, annonce les résultats de la seconde campagne d’essais sur les céréales.

Après les premiers essais au champ concluants de 2020 (voir communiqué de presse du 22 juillet 2020), Amoéba a réalisé en 2021 une seconde campagne d’essais agronomiques en Europe contre les maladies des céréales.

Une quinzaine d’essais ont été mis en place dans 3 pays (France, Italie, Allemagne.) Les principales maladies visées étaient :

  • sur le blé : la rouille jaune, la septoriose et la fusariose des épis.
  • sur l’orge: la rhynchosporiose.

Les résultats de cette année confirment l’efficacité des formulations de biocontrôle d’Amoéba contre les principales maladies des céréales, le plus grand marché fongicide d’Europe. Leur niveau de performance évalué à ce stade contre, en particulier, la rouille jaune mais aussi la septoriose du blé est tel qu’il serait possible de remplacer en partie les fongicides conventionnels au premier traitement, en combinaison avec des variétés moyennement sensibles.« Si le biocontrôle est déjà bien implanté sur les cultures spécialisées, par exemple la vigne ou les cultures maraichères, la recherche de biofongicides efficaces en grandes cultures est l’un des objectifs majeurs de la protection des plantes en Europe. Les résultats de nos premières campagnes d’expérimentation sont très encourageants : avec les produits d’Amoéba, il serait ainsi possible, en combinant la résistance génétique (choix de variétés tolérantes) et le biocontrôle, de réduire jusqu’à 50% l’apport de fongicides chimiques sur le blé, tout en conservant un niveau de protection parfaitement satisfaisant » déclare Jean Luc SOUCHE – Business Developer Biocontrôle d’Amoéba.

Contexte climatique des essais au champ en 2021 pour les céréales :

Le début de printemps plutôt froid et sec n’a pas été favorable au développement précoce des maladies, en particulier de la septoriose et de la rhynchosporiose qui nécessitent des pluies répétées pour se développer.
Toutefois, des contaminations importantes de rouille jaune ont pu être observées dans de nombreux essais du Bassin parisien et du Nord de la France.Plus tardivement, les pluies soutenues de mi-juin, alors que le blé était au stade sensible de la floraison, ont provoqué des infestations très importantes de fusariose des épis, en particulier dans nos essais, réalisés en contamination artificielle (pulvérisation d’une suspension de spores sur les épis).

Résultats des essais au champ :

Contre les maladies foliaires du blé, trois formulations ont été comparées, appliquées seules dans certains essais ou positionnées en premier traitement d’un programme de deux (le second étant réalisé avec un fongicide conventionnel) dans un autre protocole.

  • La septoriose a été peu présente cette année, et les résultats disponibles confirment l’activité observée en 2020, proche de 50%
  • Deux essais sur orge, faiblement contaminés, montrent une efficacité du même ordre (50%) contre la rhynchosporiose, un niveau jamais atteint par aucun produit naturel.
  • Le seul essai infesté par la rouille brune a vu un développement explosif de la maladie. Les situations de ce type sont très défavorables aux produits de biocontrôle en général, et les produits expérimentaux n’ont pas montré d’activité.
  • Les résultats des essais sur la rouille jaune du blé confirment également ceux de 2020 : une efficacité très nette et régulière est observée, de l’ordre de 40% à 75%. Cette efficacité est en général inférieure à celle des produits de référence chimique mis en comparaison, mais ce niveau de performance est inégalé pour un produit de biocontrôle. L’efficacité est maximisée quand le développement de la maladie n’est pas explosif, en particulier sur des variétés moyennement sensibles.Cette efficacité se traduit également par des gains de rendement parfois spectaculaires et statistiquement significatifs : 81,1 quintaux/ha dans un essai où le témoin atteint seulement 70,6 quintaux /ha et la référence 78,9 quintaux/ha, soit + 10,5 quintaux (+14,8 % d’augmentation) pour le produit expérimental. Les essais de « programme » ont été moins contaminés, mais montrent néanmoins l’intérêt des produits de biocontrôle d’Amoéba au premier traitement.
  • La fusariose des épis est une maladie tardive mais particulièrement dommageable, d’une part car elle provoque l’échaudage des grains (une altération de la maturation) et donc des pertes de rendement directes, et d’autre part car le champignon pathogène sécrète également des mycotoxines (par exemple le déoxynivalénol ou DON) dangereuses pour la santé humaine ou animale. La législation européenne fixe d’ailleurs une teneur maximale en déoxynivalénol, au-delà de laquelle les lots ne peuvent être utilisés en alimentation humaine.

Les fongicides conventionnels de référence sont peu satisfaisants contre cette maladie, d’où l’intérêt d’utiliser des produits de biocontrôle, d’autant plus que pour un traitement tardif réalisé sur l’épi en floraison, le risque de retrouver des résidus de pesticides chimiques dans le grain est élevé.

Des résultats encourageants sont observés dans les conditions particulièrement extrêmes de cette année, spécialement avec l’une des formulations testées, qui dans 1 essai, a une efficacité équivalente à celle du fongicide chimique de référence, et conduit à un gain de rendement statistiquement significatif de 8,5% par rapport au témoin non traité.

Ces résultats feront naturellement l’objet d’une confirmation en 2022.

Résultats prometteurs de l’application Biocontrôle- Vigne dans une très forte « année à mildiou »

Chassieu (France), le 29 Juillet, 2021 – 17h45 – AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, annonce les résultats de la troisième campagne d’essais au champ contre le mildiou et oïdium de la vigne de sa solution de biocontrôle, dans une très forte année à Mildiou.

Un contexte météorologique très favorable au mildiou.

En France, après les fortes gelées du mois d’avril, le mois de mai a été relativement froid et les quelques pluies n’ont pas provoqué de contaminations.

Une remontée des températures a été observée en juin jusqu’à une petite période de canicule. A partir des 10-15 juin, des épisodes de fortes pluies se sont succédés, provoquant des contaminations soudaines et très importantes, sur feuilles et grappes, dans de nombreuses régions : Bordelais, Sud- Ouest plus généralement, Champagne, Est, ainsi que Bourgogne et Beaujolais dans une moindre mesure.

Ainsi, des dégâts importants et parfois inédits ont été observés dans ces différentes régions.

Face à ces conditions de pression de maladie exceptionnelles, même les produits considérés comme les plus efficaces contre le mildiou ont été mis à l’épreuve. Le cuivre (Bouillie bordelaise), à sa pleine dose de 750 g/ha par traitement, appliqué tous les 7 jours, a régulièrement été inefficace, ne montrant qu’une protection insuffisante dans de nombreux essais, contrairement à ce qui était observé les années précédentes.

Néanmoins, de telles conditions sont propices pour tester les produits en développement.

Les résultats des essais au champ contre le mildiou de la vigne

Au cours des 27 essais au champ répartis dans 8 pays européens, les points suivants ont pu être confirmés par Amoéba :

  • Des conditions extrêmes d’attaque de mildiou sont trop difficiles pour des programmes de traitement 100% biocontrôle : tous, produits de biocontrôle de référence homologués et produits expérimentaux d’Amoéba, n’ont pu assurer qu’une petite protection initiale, puis ont été insuffisamment efficaces.
  • Par contre, dans toutes les situations où les pluies de fin juin ont été un peu moins soutenues et moins répétées, et malgré une pression de maladie significative, les produits expérimentaux d’Amoéba ont confirmé leur efficacité, fréquemment au niveau de celle du cuivre .
  • De plus, les associations entre les produits expérimentaux d’Amoéba et une dose réduite de cuivre (150 g / ha, soit 1/5 de la dose maximale), ont à nouveau permis d’assurer une protection suffisante, au moins équivalente à celle d’un programme de cuivre à une dose pratique d’environ 3000 g/ha/an, dans de très nombreux vignobles européens : Sud-Est, Muscadet, Italie (Frioul et Piémont), Nord Portugal, Espagne (Galice), Hongrie, Bulgarie.
  • Les formulations des produits expérimentaux d’Amoéba ont encore été améliorées cette année : plusieurs ont été comparées et une formulation sous forme de suspension concentrée, nouvellement testée lors de cette campagne d’essais au champ, se révèle supérieure aux autres dans 80% des cas.

Les essais destinés aux futures demandes d’autorisation de mise sur le marché imposent de tester les produits seuls tout au long de la saison pour bien juger de leur efficacité intrinsèque. Ce type de protocole, qui ne représente pas la pratique viticole, a permis de confirmer, pour la 3ème année consécutive au champ, l’activité de la substance active, mais aussi de vérifier qu’en cas de pression très élevée de mildiou, il convient d’opter pour une protection conventionnelle complémentaire aux produits de biocontrôle.

Les résultats de la stratégie d’association des produits expérimentaux d’Amoéba avec le cuivre, qui permet de réduire l’apport de cuivre par hectare à 1500 g/an environ, sont à nouveau très encourageants dans l’optique du réexamen réglementaire du cuivre au niveau européen (prévu pour 2026) qui pourrait conduire à une réduction de la dose autorisée (aujourd’hui 28 kg de cuivre par hectare sur une période de sept ans sont autorisés, soit 4000 g/ha/an lissés sur 7 ans).

« Dans cette année difficile, les produits expérimentaux d’Amoéba confirment donc leur efficacité, leur potentiel de réduction des fongicides chimiques, et leur bonne complémentarité avec une dose réduite de cuivre, » déclare Jean Luc SOUCHE – Business Developer BiocontrôledAmoéba

Des résultats très prometteurs sur l’oïdium

Après un premier essai intéressant en 2019 (pas d’expérimentation interne en 2020), quelques essais ont été conduits sur l’oïdium de la vigne en France et en Italie. L’ensemble des essais contaminés démontrent une très nette efficacité des produits expérimentaux d’Amoéba, atteignant 90 % d’efficacité sur grappes dans un essai où l’intensité de maladie est élevée, soit une efficacité presque équivalente à celle du soufre dans les mêmes conditions.

« Ces bons résultats, qui feront l’objet d’un large programme de confirmation en 2022, pourraient permettre de soutenir une demande d’autorisation de mise sur le marché contre cette maladie. Une telle polyvalence mildiou et oïdium pour un même produit de biocontrôle serait un avantage concurrentiel important, » précise Jean Luc SOUCHE – Business Developer Biocontrôle dAmoéba.

Comme annoncé en avril 2021, Amoeba poursuit actuellement une large campagne d’essais sur céréales et communiquera les résultats dès obtention des données d’efficacité et de rendement.

Amoéba annonce un report de la conclusion d’évaluation par Malte du dossier substance active biocide

Chassieu (France), le 5 juillet 2021 – 17h45 – AMOÉBA (FR0011051598 – ALMIB), producteur d’un biocide biologique capable d’éliminer le risque bactérien dans l’eau et les plaies humaines, et d’un produit de biocontrôle pour la protection des plantes, encore en phase de développement, annonce qu’elle a reçu, en date du 24 juin 2021, un ultime jeu de questions de la part de l’Autorité maltaise qui évalue le dossier substance active biocide.

Pour rappel, dans son communiqué de presse du 6 avril 2021, précisant le calendrier des dossiers réglementaires biocides et phytosanitaires, la Société estimait que le rapport d’évaluation de son dossier « Biocide » par l’Autorité maltaise pourrait être disponible mi-2021.

Considérant le temps nécessaire pour finaliser le dossier de réponse, ainsi que le délai pour l’évaluation de ce dernier par l’Autorité maltaise, celle-ci s’est engagé à finaliser le rapport d’évaluation au cours du 4ème trimestre 2021.

Par ailleurs, la Société a décidé de mettre à profit cette nouvelle série de questions pour enrichir son dossier en soumettant également les résultats d’une étude laboratoire en cours de finalisation, basée sur la norme européenne EN 136231, et qui démontre un abattement de plus de 99% du taux de légionnelle en 96 heures. Cette étude d’efficacité complémente les données d’efficacité déjà soumises, renforçant la démonstration de l’efficacité de la substance active en injection continue.