center_focus_weak

Focus marché

keyboard_arrow_right

Le marché mondial de la protection des plantes représentait 60 Milliards de USD en 2019 dont environ 13 milliards de fongicides.

Le biocontrôle représente en 2020 environ 3,5 à 4 milliards USD selon les études et croit à environ 15% par an. Certaines projections dépassent donc 10 milliards de USD en 2025.

Les bioinsecticides sont le principal segment (60 à 70%)

En France (2019) – Le CA des produits de biocontrôle est de 217 M€ en progression de 8,5%. Il représente 11% du marché de la protection des plantes. La part des biofongicides est de 37% soit 80 M€.

L’Europe souhaite réduire de moitié l’usage des pesticides et développer l’agriculture biologique à hauteur de 25% des terres cultivées d’ici 2030.

Biocontrôle

Vers une agriculture performante et durable

Protéger les plantes de manière durable et écoresponsable

Pour assurer le rendement et la qualité des récoltes, il est impératif de protéger les plantes cultivées contre les maladies.

 

Réduire l’usage des fongicides chimiques

Depuis des dizaines d’années, les fongicides conventionnels sont utilisés de manière intensive et quasi exclusive. Bien que leur efficacité soit indéniable, leur surconsommation peut entraîner des risques associés (apparition de souches résistantes, impact sur l’environnement, résidus dans les productions agricoles…)

 

Répondre à un besoin sociétal et gouvernemental de solutions écologiques en agriculture :

La France s’investit de plus en plus vers une démarche durable dans la gestion des produits phytosanitaires. En janvier 2020, elle réactualise son plan Écophyto pour la 3ème fois et annonce l’application de l’Écophyto II+ visant à réduire la dépendance aux produits phytosanitaires. La signature du Green Deal Européen en décembre 2019, fait suivre aux pays européens ce même objectif.

 

Une technologie prometteuse : Le biocontrôle

Pour réduire l’usage des produits conventionnels tout en garantissant rendement et qualité, le biocontrôle est l’une des meilleures solutions.

 

Qu’est ce que le biocontrôle ?

Le Code Rural et de la Pêche Maritime définit les produits de biocontrole comme étant « des agents et produits utilisant des mécanismes naturels dans le cadre de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures ».

 

Ils comprennent en particulier :

« Les macroorganismes et les produits phytopharmaceutiques comprenant des micro-organismes, des médiateurs chimiques comme les phéromones et les kairomones et des substances naturelles d’origine végétale, animale ou minérale. » (Article L.253-6)

 

La France considère cette technologie comme le futur de l’agriculture

Le ministère de l’Agriculture Français à publié en novembre 2020 sa Stratégie de Déploiement du Biocontrôle ayant pour objectif d’accompagner et soutenir le développement du biocontrôle sur le territoire.

Notre substance active innovante

 

Une substance active innovante : Le lysat d’amibe (voir photo ci-contre)
Nous avons découvert que l’amibe Willaertia magna C2c Maky lysée mécaniquement présentait de fortes propriétés fongicides.

 

Plusieurs maladies des plantes concernées

Tout d’abord sur les oomycètes (micro-organismes proches des champignons et responsables des mildious) puis sur des champignons phytopathogènes comme les rouilles, les oïdiums, etc.

 

Ceci a été mis en évidence dans des tests de laboratoire puis, depuis 2019, a été vérifié dans des essais de plein champ.

AXPERA, le premier biofongicide à base de lysat d’amibes

 

Pour la première fois, Amoéba propose un biofongicide efficace et sans danger, issu d’une classe de microorganisme jamais utilisée en agriculture : les amibes.

 

Pourquoi AXPERA ?

AXPERA, c’est l’a(e)xpertise d’Amoéba au service d’une nouvelle ère (era) de la protection des plantes. Le préfixe AXP, pour « Amoéba Experimental Product », rappelle les différentes formulations expérimentales du produit (AXP12, AXP13, AXP17). A travers cette nouvelle marque, Amoéba met en lumière les valeurs d’innovation, de performance, de responsabilité et de renouveau. (Voir plus : communiqué de presse).

Notre différenciation

Un double mode d’action 
Cette substance active présente un double mode d’action : elle stimule les défenses des plantes (un effet indirect sur les maladies), et par ailleurs inhibe la germination des spores des agents pathogènes (il s’agit donc d’un effet direct sur le pathogène)

 

Une efficacité remarquable 
Les très nombreux essais ont montré que l’efficacité au champ était remarquable, souvent bien supérieure à celle des produits de biocontrole présents sur le marché.

 

Un large spectre d’activité
Large spectre contre de multiples pathogènes d’importance économique majeure (mildiou, rouille…) sur de nombreuses cultures (vigne, pomme de terre, cultures maraichères, céréales…).

Les essais au champ

Il est nécessaire et même obligatoire d’effectuer des essais au champ pour les raisons suivantes :

  • Pour mesurer la valeur technique du produit et connaitre les doses d’application :

Ces essais permettent de déterminer la dose efficace (qui peut varier selon le pathogène visé) et de sélectionner les meilleures formulations, de trouver les meilleures conditions d’emploi, de comparer le produit expérimental à des produits de référence conventionnels ou de biocontrôle déjà présents sur le marché. L’objectif est de mesurer la valeur technique du produit et d’approcher l’intérêt qu’il pourra apporter pour les agriculteurs, même si ces essais ne sont pas des essais « de valeur pratique ».

  • Pour obtenir les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) :

Il est obligatoire dans la plupart des pays du monde de prouver l’efficacité au champ pour obtenir une AMM. C’est le cas en Europe, au Brésil, mais pas aux USA sauf en Californie.

 

Ces essais doivent respecter des procédures strictes 
Les essais doivent suivre des protocoles officiels (qui précisent, par exemple, le nombre de répétitions, le nombre de traitements à réaliser ainsi que leur fréquence, les notations à effectuer, etc) et doivent être réalisés par des prestataires agréés BPE (Bonnes Pratiques d’Expérimentation). Deux années d’expérimentation au minimum sont requises en Europe. Les résultats sont ensuite analysés et font l’objet d’un dossier présenté aux autorités en parallèle du dossier toxicologique et écotoxicologique.

Des résultats inédits en biocontrôle

Les essais réalisés depuis 2019 ont permis de mesurer les efficacités de l’ordre de :

  • 50 à 80% sur le mildiou de la vigne même en situation de forte pression de maladie (et avec une efficacité sur grappes particulièrement remarquable), le mildiou de la pomme de terre et de la tomate et les mildious des cultures maraichères (laitue, cucurbitacées,…).
  • Une efficacité sur les rouilles jaune et brune du blé, la septoriose du blé

Une utilisation adaptable aux besoins du secteur 

Ce niveau d’efficacité, inédit pour un produit naturel de biocontrôle, permet déjà d’envisager que le produit pourra, par exemple, être utilisé seul à certaines périodes et sur certaines cultures, ou associé (en mélange ou en alternance) à des fongicides conventionnels utilisés à dose très réduite dans d’autres cas.

 

Ce type de produit est très attendu sur les grandes cultures ( blé, soja,..) pour lesquelles l’offre de biofongicides est actuellement très limitée.

 

Depuis 2019, Amoéba et ses partenaires ont réalisé plus de 380 essais dans 15 pays, répartis sur 4 continents.

Avec plus de 120 essais au champs réalisés, la campagne 2021/2022 est la plus importante jamais entreprise par Amoéba (Cf. Communiqué de presse du 20/10/22).

En 2023, la société prévoit plus de 120 essais à travers l’Europe, les USA, et le Brésil sur diverses cultures historiques (vigne, cultures maraîchères, pomme de terre, céréales, soja, caféier, bananes…) et inédites (fraise, melon, basilic, gazon, betterave, pensée…) 

Les tests en serre, une étape clé au développement d’un produit de biocontrôle

Les essais au champ, étape indispensable à l’élaboration d’un bio-fongicide

Biocontrôle antifongique d'Amoeba : Observations des résultats sur le mildiou de la vigne

Voir toutes les vidéos